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6 mars 2015

THE FINANCIAL KILLERZ

Vidéo très révélatrice en fin d'article et en rouge

 

 

THE FINANCIAL KILLERZ

GOLDMAN SACHS – LA BANQUE QUI DIRIGE LE MONDE

Documentaire de Jérôme Fritel et Marc Roche très complet même s’il n’est pas dit que Goldman Sachs a également subventionné la campagne électorale de Barack Obama en 2008 à hauteur d’1 million de dollars… 

Depuis cinq ans, Goldman Sachs incarne les excès et les dérives de la spéculation financière. Anatomie d’unpouvoir qui ne connaît ni frontières ni limites et menace directement les démocraties.

Plus qu’une banque, Goldman Sachs est un empire invisible riche de 700 milliards d’euros d’actifs, soit deux fois le budget de la France. On l’appelle “la Firme”, comme dans les romans d’espionnage des années 1980. Après s’être enrichie pendant la crise des subprimes en pariant sur la faillite des ménages américains, elle a été l’un des instigateurs de la crise de l’euro en maquillant les comptes de la Grèce puis en misant contre la monnaie unique. Un empire de l’argent sur lequel le soleil ne se couche jamais, qui a transformé la planète en un vaste casino. Grâce à son réseau d’influence unique au monde, et son armée de 30 000 moines-banquiers, Goldman Sachs a su profiter de la crise pour accroître sa puissance financière, augmenter son emprise sur les gouvernements et bénéficier de l’impunité des justices américaine et européennes.

NOTE : Ce reportage est de plus en plus difficile à trouver… J’insiste pour ceux qui n’ont encore jamais vu, ça vaut vraiment le détour, TOUT SIMPLEMENT ÉDIFIANT  !!!

Son nom n’a longtemps été prononcé que dans l’univers compassé de la haute finance, avec un mélange de crainte et d’admiration. Et puis la crise est arrivée, jetant une lumière crue sur les pratiques de Wall Street et de son plus beau fleuron, Goldman Sachs.

De New York à Athènes, de Londres à Strasbourg, le documentaire Goldman Sachs : la banque qui dirige le monde raconte comment l’établissement américain n’a cessé de flirter avec la ligne jaune – quitte à la franchir parfois – dans un seul but : gagner toujours plus d’argent. Au point de devenir le symbole d’une finance devenue folle.

A partir de témoignages d’ex-salariés, politiques, régulateurs ou économistes, les journalistes Jérôme Fritel et Marc Roche, correspondant du Monde à Londres et auteur d’un livre à succès sur Goldman Sachs, relatent les dérives de cette puissance de l’argent. En trompant ses propres clients d’abord, comme quand la banque pariait sur un effondrement des crédits immobiliers américains, les subprimes, tout en refilant des produits qu’elle savait toxiques à d’autres ; en continuant à spéculer sur les matières premières le 11 septembre 2001, “parce qu’il y a de l’argent à se faire, quoi qu’il arrive” ; en aidant la Grèce à cacher une partie de sa dette abyssale avant l’explosion du pays en 2009.

SENTIMENT D’IMPUNITÉ ET D’INFAILLIBILITÉ

Surtout, les témoignages et les images d’archives laissent poindre un insubmersible sentiment d’impunité et d’infaillibilité. Le patron de Goldman Sachs, Lloyd Blankfein, n’a-t-il pas expliqué un jour “faire le travail de Dieu” ? Une morgue qui doit beaucoup, selon les auteurs, au “réseau d’influence unique au monde” dont bénéficie la banque. Henry Paulson, secrétaire américain au Trésor sous George W. Bush,Mario Draghi, président de la Banque centrale européenne (BCE)… : autant d’anciens de Goldman Sachs, parmi tant d’autres, passés de la banque américaine à des responsabilités publiques, ou inversement. De quoi créer potentiellement des conflits d’intérêts explosifs… sans que cela n’émeuve les principaux intéressés.

Lors d’une audition au Congrès américain, Henry Paulson ne semble ainsi pas comprendre les griefs qui lui sont adressés, lui qui a laissé sombrer Lehman Brothers, un des principaux concurrents de Goldman Sachs, mais qui a sauvé l’assureur AIG, dont la faillite aurait été destructrice pour la banque qu’il dirigeait, avant de rejoindre l’équipe Bush.

A la vision du documentaire, d’aucuns pourraient juger l’enquête trop à charge contre Goldman Sachs, presque un bouc émissaire idéal dans cette haute finance si souvent vérolée. Mais être les premiers vous expose beaucoup plus. Et la banque et ses responsables, en refusant de parler aux auteurs, n’ont rien fait pour contrecarrer ce biais.

GOLDMAN SACHS - LES NOUVEAUX MAÎTRES DU MONDE

Comment Goldman Sachs, petite maison de courtage fondée en 1869 par un immigré allemand, est-elle devenue la banque d’affaires la plus puissante du monde ?

La première chose que l’on apprend chez Goldman Sachs c’est que l’on ne doit pas parler de Goldman Sachs. Les anciens ont peur, les stagiaires se cachent. Depuis décembre 2006, les banquiers de Goldman Sachs savaient qu’une crise financière se préparait et ont largement tiré profit de cette précieuse information.

Les Américains, eux, en ont subi les conséquences et commencent à se réveiller. Ce plongeon au coeur de l’une des plus grandes institutions de Wall Street permet de lever le voile sur les méthodes de la finance mondiale.

 

GOLDMAN SACHS, LE TRAIT D’UNION ENTRE MARIO DRAGHI, MARIO MONTI ET LUCAS PAPADÉMOS

Qu’ont en commun Mario Draghi, Mario Monti et Lucas Papadémos ? Le nouveau président de la Banque centrale européenne, le président désigné du conseil italien et le nouveau premier ministre grec appartiennent à des degrés divers au “gouvernement Sachs” européen. La banque d’affaires américaine a en effet tissé en Europe un réseau d’influence unique sédimenté depuis des lustres grâce à un maillage serré, souterrain comme public.

Lucas Papadémos                                        Mario Monti                                        Mario Draghi

A tout concours, il faut une hiérarchie. Le premier prix revient bien sûr à Mario Draghi, vice-président de Goldman Sachs pour l’Europe entre 2002 et 2005. Nommé associé, il est chargé des “entreprises et pays souverains“. A ce titre, l’une des missions est de vendre le produit financier “swap” permettant de dissimuler une partie de la dette souveraine, qui a permis de maquiller les comptes grecs. Vient ensuite Mario Monti, conseiller international depuis 2005. Arrive en troisième position Lucas Papadémos, qui vient d’être nommé premier ministre de la Grèce, qui fut gouverneur de la Banque centrale hellénique entre 1994 et 2002, qui a participé à ce titre à l’opération de trucage des comptes perpétré par GS. Le gestionnaire de la dette grecque est d’ailleurs un certain Petros Christodoulos, un ex-trader de la firme.

Deux autres poids lourds tiennent le haut du pavé dans la défenestration de l’euro, Otmar Issing, ex-président de la Bundesbank et Jim O’Neill, l’inventeur du concept des BRICS, l’acronyme désignant les marchés émergents à fort potentiel de croissance (Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud). Ex-président de Goldman Sachs International dont il est resté l’un des administrateurs, l’Irlandais Peter Sutherland a joué un rôle-clé dans le sauvetage de l’Irlande. Enfin, Paul Deighton, qui a passé 22 ans chez Goldman Sachs, est directeur général du comité organisateur des Jeux olympiques de Londres en 2012. La lanterne rouge car chacun sait que le sport comme l’amitié est hors concours.

Pourtant, au-delà des apparences, le réseau d’influence qui a fait sa puissance avant ou pendant la tourmente politique financière de 2008 a perdu de son efficacité. En effet, les complicités anciennes entretenues par les ex-banquiers centraux chevronnés mobilisés pour tirer les ficelles se révèlent moins utiles face à des politiciens sensibles à l’impopularité des professionnels de la finance tenus pour responsables de la crise. Là où Goldman Sachs pouvait facilement exercer ses talents, une série d’affaires – la Grèce, la spéculation contre l’euro, le scandale Abacus auquel a été mêlé le goldmanien français Fabrice Tourre – lui ont mis à dos la puissance publique.

Le carnet d’adresses est utile mais ne suffit plus à lui tout seul sur une planète financière complexe et technique et face à une nouvelle génération d’industriels moins pétris de respect pour l’establishment. Les patrons européens partis à la conquête du monde se sont émancipés des croisés de la haute finance style Goldman Sachs. La quête de valorisation de l’actionnaire, les exigences de transparence des comptes et les impératifs de l’expansion à l’étranger émoussent l'”effet réseau“. Enfin, devenus plus exigeants sur la qualité et l’indépendance du métier de conseil, les clients européens, mais pas seulement, exigent le respect d’un minimum d’éthique.

Et c’est là que le bât blesse à propos de Goldman Sachs. Car la banque aime placer ses hommes sans jamais laisser tomber le masque. C’est pourquoi ses hommes liges cachent cette filiation quand ils donnent une interview ou mènent une mission officielle (comme ce fut le cas de Monti qui s’est vu confier en 2010 une étude sur le marché unique européen par le président de la Commission, José Manuel Barroso).

Mario Draghi affirme qu’étant entré en fonction en 2002, il n’a rien eu à voir avec le maquillage des comptes grecs orchestré deux ans plus tôt par la banque. Et il a démissionné en 2005, soit un an avant que Goldman Sachs ne revendre une partie du “swap” en question à la National Bank of Greece, la première banque commerciale du pays, dirigée par un ancien Goldmanien, Petros Christodoulos, aujourd’hui responsable de l’organisme gérant la dette grecque.

LES DRAGONS DE LA FINANCE

LA CITY DE LONDRES – CAPITALE DE LA MAFIA FINANCIÈRE

Depuis 2007, la crise ne fait que s’accentuer. La récession s’impose et les États étouffent sous le poids de l’endettement. Cependant, il existe un monde parallèle qui agit comme une sève pour irriguer la gouvernance mondiale en formation : les paradis fiscaux. Ils sont définis par le journaliste économique Nicholas Shaxson comme un « lieu qui se propose d’attirer des activités économiques en offrant à des particuliers ou à des entités un cadre politiquement stable permettant de contourner les règles, les lois et les réglementations édictées dans les autres pays ». Appelés aussi« juridictions du secret », ces paradis fiscaux s’emploient à manipuler les mouvements d’argent internationaux.

On dénombre environ une soixantaine de ces « juridictions du secret » au cœur de la globalisation, qui se subdivisent en 3 groupes :

  • Les paradis fiscaux européens comme le Luxembourg, le Liechtenstein ou Monaco
  • Les États-Unis, ses États fédérés (en particulier le Delaware) et les dépendances sous influence américaine (les îles Vierges, Panama, …)
  • La City de Londres organisée en 3 cercles concentriques : les dépendances de la Couronne (Jersey, Guernesey et l’île de Man), les quatorze territoires britanniques d’outre-mer (les îles Caïmans, les Bermudes, Gibraltar…) et des États entretenant des relations étroites avec l’ancien colonisateur : Hong Kong, Singapour, Dubaï…). Ces centres offshore combinent le secret bancaire et la non-imposition.

 

La capitale britannique est constituée de deux villes. La première est un vaste centre urbain de plusieurs millions d’habitants dirigé par un maire disposant de peu de pouvoirs. La deuxième est un espace de 3,16 km², appelé « City of London Corporation » ou« Square Mile », subdivisé en 25 quartiers appelés « wards »dont seuls quatre sont réellement habités, tandis que les autres regroupent les bureaux. Dirigée par un Lord-maireSir Roger Gifford véritable ambassadeur de tous les services financiers, la City est dotée d’un gouvernement (le « Guildhall »). Outre les 9.000 résidents de la City à voter, les représentants d’entreprises (23.000 personnes) ont aussi le droit de vote. Ainsi, Goldman Sachs, la banque Narodny de Moscou ou encore la Bank of China participent à la vie« démocratique » de la City. Ajoutons que des citoyens d’honneur anglais et étrangers appartiennent à ce corps électoral très particulier. Nous pouvons relever les noms de George Bush, Jr. et de Vladimir Poutine. La famille mondialiste est très variée.

La City est un véritable État dans l’État disposant d’un pouvoir total sans avoir de compte à rendre au Parlement de Westminster. Cette politique est rendue possible entre autres grâce au rôle du remembrancer(« remémoreur »), véritable lobbyiste et non-élu, qui est un relais entre la City de Londres et le Parlement anglais. Il est chargé de vérifier que les représentants du gouvernement ainsi que les différents ministères n’élaborent pas de mesures pouvant contrer la toute-puissance et l’indépendance de la City. Il est vrai que celle-ci concentre des intérêts jalousement gardés. Sur ce petit territoire, on trouve près de 550 banques, la moitié des assureurs de la planète — plus que ceux de New York, Paris et Francfort réunis — un volume d’affaires journalier cinq fois supérieur au PNB anglais, la moitié des entrées en bourse dans le monde et près de 80 % des hedge funds (fonds spéculatifs) européens. Comme l’a résumé joliment le député anglais Tony Benn, la City « est une île offshore amarrée sur la Tamise ».

Sachant que la quasi-totalité des investissements internationaux se fait via les centres offshore, en profitant au passage d’avantages fiscaux et de contraintes juridiques bien allégées, les multinationales s’en donnent à cœur joie. Pareille à une araignée au milieu de sa toile, la City de Londres régente tous ces flux financiers. La dérégulation des marchés qui s’est accélérée à partir des années 1980 a conduit à des volumes financiers colossaux transitant dans les paradis fiscaux. Selon l’économiste John Christensen, ils sont évalués à plus de 20.000 milliards de dollars. Une telle situation montre clairement que les politiques n’ont plus le pouvoir et que la finance a en main des atouts majeurs pour imposer un monde se rapprochant de l’idéal orwellien.

LA CITY –  LA FINANCE EN EAUX TROUBLES

Mathieu Verboud propose une enquête sur l’un des plus importants paradis fiscaux méconnu du grand public : la City de Londres.

Comment a-t-elle réussi à être un des acteurs majeurs de la dérégulation financière, des bonus extravagants, de la culture du profit à court terme, de la fiscalité douce mais aussi du secret bancaire, de l’évasion fiscale et du blanchiment d’argent ?

Il est vrai que l’endroit est particulier : la City n’est pas un “borough” comme les 32 autres quartiers de Londres, il jouit de nombreux particularismes : les électeurs sont les personnes physiques et morales installées dans le borough, le Lord Mayor de la City dispose d’une large autonomie par rapport à la ville de Londres, notamment en matière de police, etc.

 

 

 

 

ALL WARS ARE BANKERS WARS

Le monde de la finance et du gros business transnational est contrôlé pas à pas, petit à petit depuis le XVIIIème siècle par 13 familles dont voici 2 listes établies par 2 sources différentes :

Rothschild (Bauer) Rothschild
Bruce Bundy
Cavendish (Kennedy) Kennedy
De Medici Du Pont
Hanover Freeman
Hapsburg (Habsburg) Collins
Krupps Li
Plantagenet Onassis
Rockefeller Rockefeller
Romanov Astor
Sinclair (St Clair) Russell
Warburg (del Banco) van Duyn
Windsor (Saxe-Coburg-Gothe) Merovingian (Dynastie Européenne)

NOTE : Pour voir les images en mode plein écran “clic droit* puis *ouvrir dans un nouvel onglet

A celles-ci viennent se greffer les familes royales européennes et les 8 banques qui contrôlent la réserve fédérale américaine et qu’on retrouve en fait aux manettes de tout le système tentaculaire des banques centrales, géré depuis la Banque des Règlements Internationaux (BRI) dont le siège est à Bâle en Suisse :

  • Rothschild Banks of London and Berlin, banquiers de la reine Victoria
  • Lazare Brothers Banks of Paris
  • Israel Moses Seif Bank of Italy
  • Warburg Bank of Hamburg and Amsterdam
  • Lehman Brothers Bank of New York
  • Chase Manhattan Bank of New York (Rockefeller)
  • Kuhn, Loeb Bank of New York
  • Goldman, Sachs Bank of New York

Ces familles contrôlent “La Couronne qui n’est pas la Famille Royale Britannique, mais la City de Londres et la Banque d’Angleterre, qui est une entité privée comme toutes les banques centrales.

LE CŒUR DE L’EMPIRE FINANCIER

Certains demanderont pourquoi avoir oublié Wall Street  ? Réponse: Wall Street est au service de ces trois entités nommées, Wall Street est à la botte, comme tous les gouvernements… Le nœud de vipères est constitué historiquement et dans l’ordre chronologique du Vatican, de la City de Londres (état dans l’état) et du District of Columbia yankee.

La ville état du Vatican, le District of Columbia et la City de Londres forment un empire inter-connecté.

Ces trois cités-états entreprises contrôlent le monde économiquement au travers de l’entreprise financière de la City de Londres, militairement au travers de Washington District of Columbia (D.C) et spirituellement au travers du Vatican.

  • Elles ne paient aucun impôt
  • Elles ne sont sous aucune autorité nationale
  • Elles ont leur propre drapeau indépendant
  • Elles ont leur propres lois séparées
  • Elles ont leur propre force de police

Elles ont des identités totalement différentes du reste du monde.

NOTE : Les trois étoiles qui sont sur le drapeau du District of Columbia réfèrent aux trois cités-états, une pour chaque ville de l’empire.

 

DISTRICT OF COLUMBIA D.C

Le président des Etats-Unis Obama, et les autres avant lui, opère en tant que “Roi-vassal” prenant ses ordres de la “City of London” au travers du Royal Institute of International Affairs (NdT: RIIA la maison mère du CFR en grande-Bretagne…).

La constitution du district of Columbia fonctionne sous la loi romaine tyrannique connue sous le nom de “Lex Fori” qui ne ressemble en rien à la constitution des Etats-Unis. Lorsque le congrès a voté la loi de 1871, il créa une entreprise distincte connue sous le nom d’Etats-Unis / US (NdT: et non pas “d’Etats-Unis d’Amérique” / USA) et un gouvernement corporatiste, entrepreneurial pour le District of Columbia. Cet acte de trahison a permis au District of Columbia de fonctionner comme une entreprise en dehors de la constitution originale des Etats-Unis d’Amérique et en dehors des meilleurs intérêts des citoyens américains.

CITY OF LONDON INC.

Devenue un état souverain en 1694 lorsque le roi William III d’Orange privatisa et retourna la Banque d’Angleterre à des banquiers privés. En 1812, Nathan Rothschild torpilla le marché boursier anglais et prît alors un contrôle frauduleux de la Banque d’Angleterre.

Aujourd’hui, la ville état de Londres (City) est le centre financier mondial et le kilomètre et demi carré le plus riche de la planète.

Elle abrite :

  • La Banque d’Angleterre contrôlée par Rothschild
  • Lloyds of London
  • Le London Stock Exchange
  • Toutes les banques britanniques
  • Les succursales de 384 banques étrangères
  • 70 banques américaines
  • Journaux de Fleet Streets et Publishing Monopolies
  • Le QG mondial de la franc-maçonnerie
  • Le QG pour le cartel mondial monnétaire connu sous le nom de “la couronne” ou “the Crown”

Elle ne fait pas partie de la ville de Londres ou de l’Angleterre ou du Commonwealth Britannique

LE VATICAN INC.

La fortune collossale du Vatican inclut d’énormes investissements avec les Rothschild en Grande-Bretagne, en France et aux Etats-Unis et avec de très grosses entreprises pétrolières et de l’armement comme la Shell, BP et General Electric.

Le stock de lingots et de pièces d’or du Vatican vaut des milliards, il est emmagaziné à la Banque D’Angleterre contrôlée par les Rothschild et à la Réserve Fédérale américaine.

L’église catholique est la plus grosse puissance financière au monde, la plus grosse accumulatrice de richesses et de propriétés en existence, possédant plus de biens et de richesses que toute banque, entreprise, fond de trust géant et gouvernement n’importe où sur la planète.

Le pape, qui est le dirigeant visible de cette fortune mondiale colossale, est un des hommes les plus riches de la planète.

Alors que les deux tiers de l’humanité vit avec moins de 2$ per jour et un cinquième (1/5) du monde est sous-alimenté ou meurt de faim, le Vatican est à la tête de la richesse mondiale, profite inlassablement de ses investissements sur le marché boursier et dans le même temps prêche le “don”.

Durant la seconde guerre mondiale, le Vatican fut critiqué pour son soutien à Hitler et son régime nazi. A ce jour, le Vatican est toujours sous le coup d’une enquête pour le pillage de l’or nazi des banques suisses et des comptes des victimes juives de l’holocauste nazi.

Ces cinq dernières décennies, plus de 1500 prêtres et évêques ont été identifiés pour avoir harcelé sexuellement des dizaines de milliers de jeunes garçons et filles au sein de leur congrégations religieuses et leurs orphelinats.

  • Pourquoi cette institution honteusement riche prêche t’elle des valeurs spirituelles, la pauvreté et la chasteté, alors que des cardinaux, des prêtres et des évêques couvrent leurs crimes d’abus sexuels et de viols ?
  • Pourquoi l’église a t’elle lutté contre et résisté aux accusations et aux demandes de compensation de ses victimes sexuellement, émotionnellement et spirituellement traumatisées ?
RÉSISTANCE À L’IDÉOLOGIE DOMONANTE – COMPRENDRE LE COEUR DU PROBLÈME…

L’EMPIRE DE LA COURONNE BRITANNIQUE ET LA CITY DE LONDRES CORPORATION 

Attaquer l’empire, c’est attaquer ses piliers idéologiques et financiers. C’est à la City de Londres (pilier financier), au Vatican (pilier de l’idéologie religieuse et de la finance) et à Washington DC (pilier militaire), qu’ils se trouvent.

Boycott, désobéissance civile, union et… Un grand coup de balais général se doit d’être effectué.

La politique mondiale aujourd’hui est gouvernée par le Vatican, mais aussi par l’empire de la Couronne. Le monde moderne de la soi-disante civilisation occidentale a commencé à la fin du XVIIème siècle avec la floraison de l’empire britannique. Cet empire a en fait commencé plusieurs siècles plus tôt avec la création de la City de Londres, qui est aujourd’hui une corporation, entreprise vieille de 800 ans, qui contrôle les finances d’une entité appelée “la Couronne”. Cette entité est la créatrice et la contrôleuse de la Banque d’Angleterre, de la banque de la Réserve Fédéraleaméricaine, de la Banque Mondiale, du FMI, de l’Union Européenne et de nombreux cartels et entreprises dans le monde. L’identité de la “Couronne” est un secret bien gardé et laBanque d’Angleterre de la Couronne a pris le contrôle des Etats-Unis durant l’administration de (Teddy) Roosevelt en 1901-09, lorsque ses agents, qui étaient en fait des agents de la Couronne (JP Morgan), prirent possession de 25% des affaires commerciales et financières américaines.

La Couronne n’a jamais été le roi ou la reine d’Angleterre depuis la création du corps entrepreneurial, mais la monarchie britannique en est la figure de proue pour la Couronne, domine le parlement de Grande-Bretagne et a autorité sur les premiers ministres au travers un ordre de chevalier du Vatican appelé “Ordre de la Jarretière” (NdT: Ordre fondé par le roi Edward en 1348. La devise de l’ordre est une devise française “Honni soit qui mal y pense”, elle figure aujourd’hui, écrite en français sur tous les passeports britanniques avec l’autre devise de la royauté “dieu et mon droit”, également écrite en français sur les passeports britanniques…). Quoi qu’il en soit, la Couronne n’est pas le roi ou la reine d’Angleterre, qui sont une monarchie établie du corps entrepreneurial de la City de Londres.

La Couronne est le directorat de la corporation et la Grande-Bretagne est dirigée par la Couronne, la City de Londres qui contrôle la Banque d’Angleterre, une entreprise privée (NdT: dont la famille Rothschild est un des actionnaires majeurs). Il y a un État privé existant en Grande-Bretagne au centre même de Londres.

Cette cité, située au cœur de Greater London, est devenue un état souverain en 1694 lorsque le roi William III d’Orange privatisa la Banque d’Angleterre et la livra aux banksters du Vatican qui dominent aujourd’hui le monde de la finance.

La corporation de la City / Couronne n’est pas sujette à la loi britannique ; elle a ses propres tribunaux, ses propres lois, son propre drapeau (NdTtout comme le Vatican et la troisième cité état de la trilogie : Washington DC, créée bien plus tard), sa propre force de police. La corporation de laCouronne est aussi séparée de la ville métropolitaine ; sa police se déplace dans des véhicules rouges et les uniformes sont différents de la police de Londres Métropole.

La Couronne de Londres héberge également la Banque d’Angleterre privatisée et la banque Lloyd’s of London, le London Stock Exchange (la bourse de Londres) et toutes les banques britanniques. La City héberge également les bureaux de 385 banques étrangères, dont 70 banques américaines ainsi que les journaux de Fleet Street et les monopoles de publication. La City contrôle le monde des médias et le renseignement mondial.

C’est depuis la City de Londres et le QG de la Franc-Maçonnerie britannique, supervisé par la monarchie britannique et le duc de Kent, que la franc-maçonnerie mondiale est gouvernée. Ceci inclut l’ordre du Grand Orient Maçonnique et le rite écossais de Washington DC.

En 1945, la Banque d’Angleterre fut nationalisée par le gouvernement travailliste (“socialiste”) et n’est plus soi-disant une banque privée, bien qu’elle gouverne la réserve fédérale américaine. Elle est contrôlée par les Rothschilds, qui sont les banquiers du pape, les gardiens de la trésorerie du Vatican.

La City de Londres possède également son Lord Mayor (Maire), différent du maire courant, qui a le pouvoir dans la corporation de la Couronne. Lorsque la reine désire faire des affaires dans la City, elle rencontre le Lord Mayor à Temple Bar. Temple Bar et ses franchises associées viennent de ce qui est appelé les “Four Inns of the Temples of Courts”, le temple intérieur et le temple intermédiaire.

Le logo du temple intérieur est un cheval blanc sur le sceau d’un soleil éclatant de l’ordre des jésuites. Le cheval blanc est un symbole de l’empire britannique, de l’Ordre de la Jarretière, de la corporation de la Couronne et est le même cheval blanc qui est le symbole du CFR (Council on Foreign Relations). Le cheval blanc est un symbole de l’ordre des jésuites: Pégase. C’est l’ordre des jésuites qui gouverne l’honorable société du temple intérieur. Le temple intérieur est le groupe qui est au cœur de la gouvernance de la corporation de la City de Londres.

La Terre entière est gouvernée par la Couronne, au travers des colonies de la Couronne qui appartiennent à la City de Londres (NdT: comme le Canada, l’Australie, la Nouvelle-Zélande et le Commonwealth en général…), l’empire de la Couronne. Celui-ci gouverne l’Afrique et continue de gouverner la Chine et l’Inde. Les colonies sur Terre sont justes des colonies de la Couronne, les Etats-Unis d’Amérique sont des états de la Couronne.

Ceci dit néanmoins, il est d’une importance vitale de se rappeler ce qui suit. L’empire de la Couronne utilise la loi du commerce (alias la loi maritime internationale ou loi des contrats) comme moyens de contrôle. Cette loi ne s’applique pas à des personnes hommes et femmes souveraines et libres.

Votre nom, lorsqu’il est épelé totalement en lettre capitale d’imprimerie, comme par exemple le mien: JULIAN WEBSDALE, est une entreprise, une corporation, un trust créé par le gouvernement au travers du ministère des finances à votre naissance. Chaque fois qu’un enfant né, une entreprise/un trust est créé utilisant son nom en lettres capitales d’imprimerie.

Ils font ceci parce que les gouvernements sont des entreprises et ils opèrent sous la loi commerciale, la loi des contrats. Les lois passées par les gouvernements ne s’appliquent qu’à des entreprises et non pas à des entités vivantes, qui respirent, des hommes et des femmes de chair et de sang libres et souverains, dont les noms sont épelés en majuscules et minuscules, comme dans Julian Websdale ou julian websdale. L’homme et la femme vivants, souverains sont sujet à la loi commune, au droit coutumier et non pas au droit commercial introduit par les gouvernements au travers de la législation.

 “Le pouvoir est le peuple et non pas l’argent ou la guerre. Montons le ton de nos voix qu’ils puissent nous entendre. Grondons. Assez du meurtre de notre propre famille. Donnons naissance à la paix ; parce que nous sommes tous partie-prenante de tout cela, nous les peuples de la Terre-Mère.”

 http://stopmensonges.com/profession-assassins-financiers/

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