23/02 - ALERTE AU MERCURE DANS LE MAQUILLAGE...! ALZHEIMER? SCLÉROSE EN PLAQUES.

Même si le sujet de la dangerosité du Mercure n'est plus vraiment nouveau, ce reportage soulève une problématique que beaucoup de gens ignorent: ce métal est malgré tout encore beaucoup utilisé notamment dans le maquillage, les teintures pour cheveux ou les jouets pour enfants alors qu'il s'agit d'un puissant neurotoxique.

Ce reportage n'en parle pas mais on retrouve aussi du mercure dans certains médicaments via le Thiomersal/Thimérosal, utilisé comme conservateur dans divers collyres et antibiotiques auriculaires. Certains vaccins contiennent également du mercure sous cette même forme soit à l'état de trace (<0,5 μg par dose) soit en tant qu'excipient notoire (10 à 50 μg par dose), uniquement pour la conservation. On en retrouve aussi de façon quasi généralisée dans le poisson, les pires étant le thon, la maquereau et l'espadon.

Le plus préoccupant est que, malgré la parfaite connaissance de la toxicité de ce métal, de nombreux dentistes continuent à proposer les amalgames dentaires à leurs patients, alors même qu'ils sont composés de 50 à 70% de mercure comme c'est le cas de l'un de ceux utilisés dans le reportage. Et quand je dis, proposer, il faudrait plutôt dire imposer car certains n'évoquent pas d'autres possibilités alors qu'il en existe (les composites ou la céramique).

Le devoir d'information des patients est totalement bafoué, et, alors qu'ils avouent la nocivité des amalgames aux journalistes, ils n'évoquent bien évidemment même pas les risques ou la composition de ces matériaux avec leurs patients. Trop embarrassant...

Le reportage confirme aussi que des amalgames sont toujours posés aux enfants. La France serait ainsi le pays européens détenant le record annuel de mercure dentaire utilisé et un quart des plombages seraient à base d'amalgames. Et après on s'étonne de l'explosion des cas de maladies neurologiques...

En effet, on apprend que plus l'on a d'amalgames en bouche, plus l'on retrouve de mercure dans le cerveau dans les autopsies. De plus, il semblerait que ces amalgames relâchent en permanence du mercure dans la bouche des patients, certains se retrouvant par moment avec une dose de 50 à 90µg/m3 soit 50 à 90 fois la dose maximale autorisée par les autorités dans l'air ambiant.

Interrogé sur la raison d'une si forte utilisation des amalgames en France, le président de l'ordre des dentistes n'a rien trouvé de mieux à fournir comme explication que le fait que les français seraient des crados d'après lui alors que les norvégiens se passent des amalgames car ils sont plus "éveillés".

Donc en gros, ils flinguent la santé des gens parce que les patients se laissent faire et les médecins semblent se satisfaire de la situation vu que les amalgames sont moins chers pour eux.

Nous apprenons également que nos médecins sont totalement ignorants de l'intoxication chronique aux métaux lourds et que certains patients non seulement en arrivent à devoir se diagnostiquer eux même mais sont aussi obligés d'aller se soigner à l'étranger.

Si vous souhaitez vous faire déposer vos amalgames dentaires, ne le faites pas n'importe comment, n'importe ou. Faites appel à des dentistes spécialisés dans ces techniques car les risques pour la santé sont importants si la procédure est mal faite (celle que l'on voit dans le reportage n'est même pas optimale).

Je vous invite également à arrêter d'acheter des ampoules fluocompacts qui, en plus d'être de qualité médiocre, ne sont absolument pas écologiques mais réellement dangereuses puisqu'elles contiennent jusqu'à 5 mg de mercure. 

VIDÉO : ALERTE AU MERCURE - DANGER POISON - 2015

(Reportage de Sophie Bonnet, diffusé le 01 Février 2015 sur France 5)

Le mercure se trouve partout, dans les produits d'hygiène, les jouets en plastique, les ampoules à économie d'énergie, les poissons, les amalgames dentaires. En effet, ce métal à l'état liquide est encore utilisé par les industriels en raison de ses nombreuses propriétés chimiques. Pourtant en 2007, l'OMS l'a classé parmi les dix substances les plus toxiques.

Des études font désormais le lien avec des maladies neurologiques comme Alzheimer ou la sclérose en plaques. La plupart des pays européens ont adopté des mesures pour limiter son utilisation. Mais les autorités françaises tardent à réagir. Durant de longs mois, une équipe a enquêté dans les cabinets dentaires, les usines de recyclage d'ampoules et les poissonneries. Les résultats sont inquiétants.

https://www.youtube.com/watch?v=-JymjoAKxeQ