Message pour les Canadiens ( Le changement arrive chez-vous)

RENCONTRE AVEC KEVIN ANNETT | TRADUCTION FRANÇAISE

ANNULATION DE L'AUTORITÉ DE LA COURONNE

COMMON LAW COMME AUTORITÉ SUPRÊME

Galactic Connection.com,

Alexandra : Moi, Kevin Annett en ligne aujourd’hui. Nous allons discuter des nouvelles avancées qui se produisent en coulisse, pas uniquement au sujet de Radio Free Kanata  mais aussi de La République de Kanata. Alors, Allo Kevin.

Kevin : Allo Alexandra 

A : Où allons-nous commencer? Dites-nous tout ce qui se passe? Il semble qu’il se passe beaucoup de choses à ce sujet.

K : En gros, il y a eu proclamation aujourd’hui. Il y a eu proclamation à Winnipeg sur l’indépendance et l’établissement de la République Souveraine de Kanata. Et la Proclamation a été déposée littéralement à des douzaines de places au Canada au moment où nous parlons.

Elle a été publiée dans divers tribunaux et places de la Mairie, cela a été remis aux membres du Parlement et au Gouverneur Général du Canada, le soi-disant représentant de la Reine au Canada, et qui est en fait à la tête de l’état du Canada sous la loi de la Couronne.

Il a reçu aujourd’hui, un avis disant que son poste est aboli et que nous sommes dorénavant sous la juridiction du droit coutumier et de la République.

C’est vraiment ce qui est arrivé dans votre pays en 1776, mais nous ne tirons pas sur les soldats britanniques. Nous lançons des armes plus puissantes, La Vérité.

A : À quel résultat vous attendez-vous de cette action?

K : Bien, je peux vous mentionner des premiers résultats. Les gens de notre organisme abordent les policiers en disant : nous vous demandons, invitons, de prendre allégeance envers la République; c’est-à-dire vous dissocier de votre allégeance à la Couronne, de la Reine d’Angleterre laquelle est accusée de félonie, et de vous joindre à nous, de prendre allégeance envers le public.

En fait, nous suppléons la police. Nous allons aussi assermenter des shérifs de Common Law qui vont mettre en force leur serment et émettre des mandats d’arrestation sur toutes personnes au gouvernement qui ont contribué à dissimuler le génocide dans les écoles indiennes, et les meurtres de ces enfants.

Et ces mandats seront émis et appliqués par le shérif.  Alors, il y aura un mouvement de vague dans tout le pays. Nous avons des gens qui déjà nous approchent sur des points étonnants.

Nous avons du monde sur la côte ouest, à Port Albany, qui est la ville où je travaillais quand j’ai entendu parler de tous ces crimes pour la première fois, il y a 20 ans de ça.

Le groupe est allé au Parlement pour parler à des gens, une personne au parlement, le membre du Parlement, a confirmé l’allégeance à un pays étranger pas seulement au Canada.

Et la femme de notre groupe qui lui a remis le document, lui a dit : Il n’y a rien à considérer, en fait vous n’avez plus de job.

Il va y avoir un Congrès- à l’été, en fait une Convention à Winnipeg, en fin de juin,

Vous, savez, à ce point, un nouveau gouvernement sera élu. Pourquoi ne pas vous rallier à nous? C’est ce genre de choses qui se produisent un peu partout, d’un bout à l’autre du pays.

A : Que pensez-vous de ce qui est en train de prendre place au moment présent?

Pourquoi est-ce plus fort maintenant que cela ne l’était il y a 5 ans?

K : Il y a pour cela, un bon nombre de raisons.  Tout d’abord : au cours de la dernière année, nous avons démontré que le Common Law, ce n’est pas juste une belle idée, c’est en fait un outil que les gens peuvent utiliser. Un bon exemple récemment de ceci, est cet éclat environnemental à Vancouver, le conflit du pipeline Kinder Morgan. Hé bien, notre groupe a gagné. Nous avons remis à la Police Montée Canadienne, l’ordre de ne pas bouger. Ils ont obéi et se sont retirés.

Nous avons alors fait sortir de prison une centaine de personnes qui avaient été arrêtées illégalement. Après cela, c’était clair pour les gens, nous n’inventons rien. Quand on s’appuie sur nos droits de Common Law, la cour obtempère et la police se retire.

Et tout ceci donne aux gens le sentiment qu’ils peuvent vraiment faire quelque chose. Comme vous savez, même si les gens ne sont pas en accord avec quelque chose, ils ne vont rien faire, tant qu’ils ne verront pas qu’il y a une alternative. Et nous, nous sommes en train de leur montrer qu’il y a une alternative.

A : C’est vraiment fantastique! Quand vous dites que vous vous appuyez sur vos droits du Common Law, pouvez-vous clarifier pour les gens, qu’est-ce que cela implique? Que devraient-ils faire pour s’appuyer sur leurs droits du Common Law?

K : Le Common Law dit que : «Aussi longtemps que vous ne faites de mal à personne, vous n’avez pas commis de crime». Dès lors, la police n’a aucune raison de vous garder à vue, ni même vous interroger. Les gens manifestaient pacifiquement contre ce projet de pipeline. Il n’y avait aucune raison justifiant des arrestations

Le Common Law dit : «Ne fais de mal à personne». Alors, l’application de la loi ne devrait pas faire de mal aux gens non plus. Et non seulement cela, mais basé là-dessus en reconnaissant, ainsi que l’ont fait vos Pères Fondateurs, que les gens sont souverains, ils sont nés hommes et femmes souverains.

Donc, ils sont la Source, c’est de là qu’origine le pouvoir du gouvernement. C’est le peuple qui donne l’autorité au gouvernement et non l’inverse. Alors, étant la Source de la loi, ils peuvent établir leur propre cour comme nous l’avons fait, ils peuvent poursuivre le gouvernement existant et le faire comparaître, et c’est vraiment le pouvoir de ces gens qui s’éveillent.

A : Wow! C’est vraiment encourageant! Avez-vous l’impression que ceci se rapporte uniquement au Canada? Ce grand mouvement et cette action de République qui est en train de se répandre comme une trainée de poudre, et c’est en train de devenir un… encore, je ne crois pas qu’on doit l’appeler une institution, n’est-ce-pas?

K : Non. C’est un organisme et non une organisation.

A : Un organisme, j’aime.  Alors, sentez-vous que cela fait juste partie du canevas canadien ou bien trouvez-vous ce genre de feu ailleurs dans le monde?

K : Partout dans le monde.  En fait, il y a une couple d’année, nous avons travaillé aux E.U. avec un groupe d’activistes principalement dans le centre-ouest. Je suis allé dans leur meeting et il y a avait pas moins de 300 fermiers très en colère dans une salle de Minneapolis.

Ces gens essaient de retourner à la Constitution Américaine originale avant que cela ne devienne une corporation. En gros, ils disent comme nous, que les Officiels de la Corporation ne servent pas le peuple, avec ce pouvoir, ils doivent être enlevés de là et les gens en Amérique doivent reprendre l’autorité.

Ça, c’est vrai pour toute l’Amérique. En fait, c’est un autre exemple, vous aux EU, vous devez vous avancer, ainsi que la majorité des gens car, dans votre Constitution il est dit : Vous êtes des hommes et des femmes et avez les droits humains inhérents de jugement selon le Common Law. Quiconque essayant d’empêcher cela, irait à l’encontre de la Constitution.

Ceci est unique dans le monde, la majorité des pays n’ont pas cela. C’est pourquoi, c’est de faire la même chose non seulement au Canada mais aussi en Australie; ils sont aussi sous le code de la Couronne et ils ont à déclarer leur indépendance de la même façon que nous le faisons. Et ils essaient, d’organiser une Convention au cours de l’été, dans les mêmes temps que la nôtre à Winnipeg.

Alors, ceci est une vague qui se répand, en Angleterre aussi, où il y a plusieurs mouvements pour établir la République Britannique. Près de la moitié du peuple britannique ne veulent plus du mark. Ce que vous ne voyez pas souvent.

A : La moitié!

K : Oui, près de la moitié au moment présent.

A : Où avez-vous pris cette statistique?

K : L’autre jour à Liverpool, il y avait un magazine qui m’a interviewé et ils m’ont dit qu’ils avaient fait leur propre sondage, et la conclusion donnait ceci : près de la moitié des gens interviewés. Et il y avait plus de 1000 personnes, et ils ont tous…

A : J’étais au bureau de poste l’autre jour et j’ai été très surprise, de temps en temps je parle aux clients là et je laisse une petite semence du genre : Oh, avez-vous vu les «chemtrails» aujourd’hui? Ou «Saviez-vous ce qu’il y a dans les vaccins? Voulez-vous mettre de l’antigel dans votre système sanguin?» Vous voyez? Des choses comme ça.

Et habituellement, ils ouvrent grands les yeux. Hier, tous les trois ont dit :  «Ah, justement je commençais à me poser des question s au sujet de toutes ces lignes dans le ciel.» Ils commencent à s’éveiller, à réaliser.

Donc, vous avez fait un commentaire sur le fait de reprendre notre autorité et je trouve très intéressant que ce soit une tendance de plus en plus généralisée, même au niveau spirituel au moment présent. Alors, ce n’est pas uniquement que nous sommes en train de nous libérer spirituellement de la matrice, les gens se libèrent en fait du gouvernement, ce qui implique très ironiquement qu’ils se libèrent aussi du contrôle mental. Et nous reprenons notre propre autorité.

Comment décririez-vous «reprendre notre propre autorité»?

K : Cela commence au niveau personnel et au niveau spirituel. Cela commence à partir de là. Et cela vient aussi d’une autre direction, quand nous voyons que toute la communauté le fait aussi, comme vous l’avez vu avec ces gens, ils commencent à s’éveiller.

Les gens se rendent compte que c’est bien plus grand que juste leur personne. C’est plus que juste réclamer votre autonomie personnelle, c’est en fait la chose la plus difficile à faire : devenir conscient de savoir jusqu’à quel point nous sommes contrôlés. Cela exige un véritable éveil personnel.

Pour ceux qui trouvent cela difficile, et je travaille avec beaucoup de monde qui viennent juste de s’y intéresser personnellement, ils peuvent se laisser inspirer par ce qu’ils voient tout autour.

Je viens juste d’avoir des conversations avec des gens à North Bay, une communauté locale au nord de l’Ontario, quatre personnes que je dois rencontrer demain, et qui ont publié la Proclamation.

L’un des types dit toujours : Ma vie est tellement sans dessus dessous, je ne veux pas vraiment m’impliquer dans cela mais, je ne veux pas vous laisser tomber, donc je serai là avec vous. Et alors, au fil des jours, nous nous aidons les uns les autres. Même si nous ne sommes pas impliqués totalement ensemble, nos voisins le sont. C’est ça l’éveil.

Mais, définitivement, l’effet de vague est là, et à bien des niveaux dont nous n’avons même pas conscience.

A : Kevin, je me demande, en fait, avez-vous un groupe de volontaires qui soient tellement focussés à essayer de convertir nos forces de polices qui eux, en sont plus à suivre et appliquer des réglementations, plutôt que d’aider et servir les citoyens?

K : Oui, nous avons un groupe focussé spécifiquement à suppléer les forces de polices.  Cela inclus d’inviter les policiers à venir à des ateliers sur le Common Law, car ils ne le connaissent pas.

La prochaine fois que la police vous arrête, demandez-leur certaines choses comme leur connaissance sur la loi, la majorité n’en connaissent rien, ils ne peuvent répondre. Car en fait, ils ont été entraînés pour faire de la collecte de fonds de revenu et l’application des réglementations de loi et non pas pour être des agents de la paix.

Alors, nous avons à éduquer beaucoup de gens incluant aussi beaucoup d’assistants.

A : Et j’imagine que si vous formez tous ces gens, devez-vous avoir des lettres de crédits et quelqu’un qui a juste le désir de servir et protéger?

K : Bien, ce que nous faisons, si quelqu’un souhaite recevoir la formation de shérif en Common Law, des gens déjà en action vont l’entrainer. Nous avons maintenant un programme et à la fin de cet atelier, les gens qui l’ont suivi vont recevoir une carte officielle de shérif en Common Law.

Dans cette position, tout comme les shérifs de comté aux USA, qui ont beaucoup de pouvoir, ils en répondent aux gens qui les ont élus et non au gouvernement. Ils peuvent nommer un jury  Ils peuvent arrêter les juges corrompus, les shérifs ont déjà beaucoup d’influence localement.

C’est ce que le shérif ici, en Kanata fera, par exemple, appliquer un mandat, protéger les gens qui essaient de faire ces choses.

Vous savez, quand vous vous tenez debout pour faire respecter ces choses, il est très facile d’amener les policiers de votre côté. En effet, ils en ont assez de ce genre de formation de paranoïaque et avoir peur de tout le monde. Et si vous montrez que vous êtes des hommes et femmes raisonnables, suivant la loi et essayant de faire la bonne chose, 90% du temps ils sont à bord avec vous. Ou au moins, tassez-vous sans interférer.

A : Je le penserais aussi…  Je viens juste d’avoir un commentaire : que ceci est vraiment dépoussiérer pour la préparation aux arrestations de masse de par le monde. Et je me demandais, comment effectuez-vous les vérifications des bonnes alliances au sujet des gens qui s’avancent comme volontaires.

En effet, j’imagine qu’étant donné que l’obscurité mène encore la danse dans le gouvernement, ils vont essayer de s’infiltrer. Alors, comment gérez-vous cette situation?

K : Au fil des années de par mon attitude à opérer en tant qu’agent de police, cela fait partie de votre éveil spirituel personnel. Ils sont faciles à détecter. Vous n’avez qu’à vous fier à votre propre cœur, à la connaissance du cœur, et savoir lire les énergies des gens. Habituellement ces gens sont très nerveux à moins que ce ne soit des professionnels très bien entraînés, ce qui généralement n’est pas le cas.

Vous pouvez les détecter à un mile vous savez. C’est une des multiples choses qui peuvent arriver, mais, vous savez, il y a plus à perdre qu’à gagner à focusser sur ce genre de choses.

Nous préférons dire aux gens, restez concentrés sur les résultats. C’est ce qui compte vraiment comme la survie, réclamer notre planète et la loi. Nous avons l’habitude de dire aux gens, ne vous en faites pas avec ça, mettez les policiers au travail. Donnez-leur une job à faire.

Souvent, les gens viennent me trouver, c’est déjà arrivé. Dans l’un des groupes à Vancouver, un des types est venu me trouver et m’a dit : « J’ai été payé pour venir vous espionner et je me sens mal là-dedans.»

A : Wow, il avait une conscience.

K : C’est vraiment la bataille entre la tête et le cœur. Nous avançons toutes les évidences, toute la vérité et cela induit ce genre de choses. Et cela marche.

A : Quel a été votre succès dernièrement en ce qui concerne les nouveaux ordres de désistement?

K : Les derniers ordres de désistement que nous  avons émis, ont été supplantés par ce que nous avons publié aujourd’hui. Laissez-moi vous en expliquer quelques points.

Les gens qui vont sur  ITCCS.org aujourd’hui vont voir un lien YouTube où la chartre  de proclamation est lue.. Cela dure 20 minute apx.  Cela explique en quelque sorte ce que nous faisons et  pourquoi nous le faisons.

https://www.youtube.com/watch?v=WPCJcKv3H90

https://www.youtube.com/watch?v=ss4AiO0egQU

Mais avec ça, il y a 3 autres choses,

1. 1.      Il y a l’Acte de Suprématie qui établit les gens dans une République libre et souveraine.
2. 2.     Il y a un ordre d’abolition de la Couronne au Canada
3. 3.     Et il y a un Acte établissant une Haute Cour de Justice

Cette Haute Cour de Justice est la base pour rendre opérationnel le Common Law au Kanata et cela permet à plus de cours de l’appliquer et de servir d’exemple

Il y a une cour de droit en fonction à Vancouver et elle s’occupe des crimes de trafic humains, trafic d’enfants, les disparitions de gens de Premières Nations, hommes et de femmes, sur la côte ouest, et sur le meurtre de 6 de nos membres de l’ITCCS. Je pense que vous en avez entendu parler.

A : Oui

K : Cette cour de Common Law ne  fait pas qu’émettre des ordres de désistement, mais elle a maintenant le pouvoir d’arrêter les gens, les traduire en justice, de renverser la vapeur sur ces criminels qui font du trafic d’enfants et que la police protège actuellement.

Cette cour prend de plus en plus de pouvoir et, encore une fois, j’encourage fortement les gens à lire ces documents. Ce sont là des documents légaux, vous pouvez les utiliser lorsque vous vous retrouvez face à la police, et qu’ils utilisent leur autorité pour agir.

A : C’est fabuleux. Maintenant, si je pense aux gens qui écoutent cette entrevue, vous dites : Nous avons maintenant le pouvoir d’établir ces hautes  cours de justice. Pouvez-vous expliquer un peu plus? Qu’est qui vous donne le sentiment que vous en avçz le pouvoir?

(18 :00)

K : Une couple de choses.  Nous avons le droit en tant que natifs de faire cela.  Ces hommes et femmes souverains qui ne reconnaissent pas l’autorité arbitraire dans laquelle ils ont grandi, mais qui reconnaissent ce qui provient de notre propre conscience, en autant que nous agissons correctement et selon la raison et les droits.

Une fois que vous êtes éveillés à cela, vous obtenez toute la légitimité dont vous avez besoin et toute l’autorité. Et la cour le reconnait.

J’ai souvent été mis dans la situation où vous entrez dans une cour de justice de la Couronne, ou une de ces cours de l’Amirauté, et vous dites simplement au juge :

Allez-vous reconnaître mon statut en tant qu’être souverain?

Ils ne vont pas répondre, mais ils ne vont pas prendre action contre vous, parce qu’ils  savent que vous êtes réveillé à ce qu’ils essaient de faire. Ils ne peuvent plus jouer avec votre ignorance et placer cette autorité sur vous.

Une fois que vous démontrez que vous n’êtes plus ignorants, ils n’ont pas cette autorité.

En réalité, cela fait juste partie de l’éveil

A : Vraiment ceci est notre quête : de vraiment se réveiller face au système légal et nos propres droits. Je pense que la majorité de nous avons été vraiment naïfs, ou du moins pas instruits sur ces aspects de notre vie.

K : Absolument. Et de la manière que le monde est éduqué maintenant, nous avons été entrainés que, si la police vous dit de faire quelque chose, tu dois lui obéir.  Mais, le fait est que, lorsque la police dit quelque chose, ils n’agissent pas selon la loi, mais selon une réglementation.

La réglementation est ce que le gouvernement apporte pour, par exemple, lever des fonds pour supporter leur administration. Ils vous font un lavage de cerveau pour vous amener à penser que c’est une loi et qu’il faut obéir.

Mais, historiquement, si vous regardez, de temps à autres, ce qu’ont dit la Cour Suprême des États Unis et la «High Court» en Angleterre, ils ont établi la République en 1649, toutes ces choses ont été dites :

i.e.   Aucune réglementation ne peut être établie sans consentement.

Ceci est un fait très simple. Mais cela, ils ne veulent pas que vous le sachiez parce que les peuples vont savoir que, si vous n’êtes pas d’accord avec la réglementation, ils n’ont aucune autorité sur vous.

Et cela a comme été poussé de côte parce que cela veut dire : Qui a l’autorité sur vous ultimement?

A : Bien, je pense qu’à ce point, ceux qui ont essayé d’exercer leurs droits souverains ont été brutalisés, arrêtés, des amendes, etc. Mais, en raison de ce que vous dites, je pense qu’il y a définitivement plus de changement parmi les corps de police, les shérifs. Tout partout, ils commencent à ne plus se voir comme des entités séparées des citoyens par le fait que tout est massivement hostile à l’humanité tout simplement.

Vous savez, je me demande si vous avez eu des discussions avec les shérifs en place à ce sujet,

Est-ce que vous sentez qu’ils en arrivent à un point où ils se disent : Seigneur! Assez, c’est assez!

K: Oui, L’exemple connu du public en Amérique : j’ai rencontré des marshals fédéraux à Minneapolis, l’an dernier, cela s’est fait avec notre mouvement-sœur en Amérique  pour restaurer la République.

Les US marshals ont été approchés par un groupe de cultivateurs qui leur ont démontré leur conclusion que les juges locaux étaient payés, par les compagnies d’hypothèque et les banques, pour émettre des ordres frauduleux contre les fermiers dans le bût de se saisir leurs terres avec une récompense pour le juge.

Les Marshals fédéraux ont dit : OUI, nous voyons bien qu’il y a là une entorse à la loi, mais nous n’avons aucune jurisprudence à savoir comment arrêter un juge fédéral.

Et j’ai dit au marshal : Bien, si vous aviez cette jurisprudence et que vous aviez un modus operandi là-dessus, est-ce que vous le feriez?

Et il a répondu : Absolument!

Mais ils attendent un leadership, tout comme chacun d’entre nous. Ils attendent quelqu’un qui va utiliser les lois et prendre le rôle de leader. Et c’est en partie ce que nous faisons.

Il nous faut frapper à la porte d’entrée d’une structure pourrie et tout s’écroulera.

Et c’est ce que allons trouver. Les gens savent que c’est pourri et ils attendent un exemple et  … Ce sera comme un tsunami. Ceci est mon opinion personnelle que cela va s’intensifier jusqu’à un momentum…

A : Je pense que c’est déjà commencé, avec le cas Burnaby Mountain.  À mon avis, sans l’ombre d’un doute, c’est le bâton qui a cassé le dos du chameau. En effet, cela a démontré et révélé à tout le monde que cette situation de Common Law est une réelle nécessité et si vous aviez une quelconque information du genre «échec et mat» sur ces soi-disant officiels de haut niveau, vous auriez beaucoup plus d’opportunités de faire bouger les choses avec la force du Common Law.

K : C’est vrai. Non seulement, nous obtenons cela avec les officiels en fonction en Amérique, nous avons aussi été approchés avec grand intérêt par certains autres pays qui manifestent leur intérêt sur cette histoire de reconnaissance de la République, et que du fait que la Couronne est sur ses derniers milles.

Et la famille royale va amener à exposer l’Europe avec tout ce travail de l’ITCCS démontrant leur implication dans ces trafics d’enfants et le culte des sacrifices dans le Cercle de Neuf.

Un autre gouvernement est très conscient qu’il doit agir, c’est le gouvernement espagnol qui a utilisé nos informations pour émettre ce mandat s’arrestation contre le pape Benoit s’il venait en territoire espagnol. Juste avant de démissionner, il en avait d’ailleurs reçu l’avis.

La Russie a aussi manifesté beaucoup d’intérêt.

Ce que je veux dire c’est que tout commence à vraiment prendre forme.

A : Une fois encore, ceci nous permet vraiment, en tant que citoyens du MONDE, de s’unir, pas uniquement de par nos pays et c’est là que c’est fantastique

K : Les gens savent pourquoi c’est différent maintenant. Les gens réalisent que nous avons le dos au mur. C’est notre bataille pour la survie. Beaucoup de gens commencent à réaliser ça au moment présent.

A : Je trouve aussi intéressant que vous ayez établi la date du 3 juillet comme congé officiel.

K : (Rire) Ceci va être décidé dans une convention. C’est une date le fun pour une convention. C’est aussi la date officielle pour le Kanata. Oui, une journée avant la vôtre.

A : Je sais. Je pensais juste que c’est vraiment bien. J’ai aussi remarqué que vous l’avez divisé – le Kanata - en 6 districts,

Mais y a-t-il un district majeur ou bien les 6 opèrent individuellement ou fonctionnent-ils comme une seule unité,  Comment cela va-t-il marcher?

K : Fondamentalement, c’est comme des régions naturelles : la première, c’est la Côte Ouest, la deuxième les Pairies, la 3e l’Ontario, 4^e le Québec, 5^e les Maritimes, 6^e Yukon et Territoires du Nord-Ouest.

Étant donné que le Canada est si étendu, nous avons à organiser. Et c’est un casse-tête  Vous pouvez vous y promener pendant des heures.. Vraiment c’est un mouvement organisé. Mais que ce soit le Canada ou les É.U., le territoire est immense et nous l’avons organisé par région.

Par exemple, il y aura des délégués élus dans tous les différents districts pour aller aux Conventions. Mais, aussi dans leur propre district.  Ils peuvent tenir leurs propres conférences.

Pour les aider à s’organiser, nous avons des facilitateurs pour aller dans les districts.

Ce seront comme des régions semi-autonomes et cela se reflètera aussi dans le  gouvernement final.  En effet, une des choses que les gens entendront ici quand ils écouteront, c’est d’aller voir la lecture de la proclamation d’aujourd’hui, sur le site ITCCS.org

(ndlt : infos de ITTCS en français : http://kevinannettinternational.blogspot.fr/)

L’un des points abordés dit que les nations indigènes, et ceci est une raison vraiment importante de l’existence même de Kanata, les nations indigènes vont pouvoir s’affilier au public en tant que nations souveraines ou aller leur chemin comme nation spécifique.

Où, vous pourrez avoir, dans le Kanata Central, une nation indigène reconnue comme une nation séparée mais fédérée tout comme l’était avant la Yougoslavie. La Fédération dans une  nation. La Yougoslavie est notre modèle.

Donc, on se débarrasse de la Confédération avec des colonies sous forme de domination, ce qui a causé tellement de génocide, et tout…

A : J’imagine ça. Chacun de nous fonctionnant et opérant en être libre en autant que nous ne nous faisons pas de mal les uns aux autres. Concept extraordinaire, n’est-ce-pas, Kevin?

K : C’est une vie naturelle, oui.

A : Maintenant, les procédures, la lecture de la proclamation, et toutes les informations qui vont être présentées, ça va prendre combien de temps?

K : Encore, si vous allez à itccs.org,(Site anglais-original de Kevin Annett) et sur le site temporaire de la République,

 http://www.republicofkanata.com

Vous allez voir des agendas. La première est aujourd’hui, le 15 janvier 2015, la lecture de la Proclamation établissant le Common Law et la Juridiction de la République.

Cela permet aux gens d’être sous leur propre juridiction.

Mais, dans les prochains mois. Il y aura une conférence régionale avec tous les délégués à la Convention, ce sera le Premier Congrès de la Constitution. Et il se tiendra du 28 juin au 3 juillet, à Winnipeg, qui est essentiellement situé au centre du pays.

Nous pensons même de faire de Winnipeg notre capitale, c’est tellement central.

Pour le moment, nous encourageons les gens à travailler dans leur région, de construire le mouvement localement et régionalement. Le focus va vraiment être mis là-dessus.

A : Est-ce que tout le monde peut y assister?

K : Oui

A : Et est-ce que là-bas, ils vont pouvoir apporter leurs suggestions pour améliorer leur ville, leur village, etc.

K : Oui, justement, une des choses qui nous avons établies, est 5 commissions de politiques des ressources : l’environnement, l’économie, le bien-être, loi et gouvernement, et les relations étrangères internationales.

Par exemple, si vous vous sentez vraiment concernés au sujet des chemtrails et autres, vous entrez en contact avec la Commission de l’Environnement. Ils sont très bons là-dedans, dans l’organisation des conventions et des rassemblements régionaux. C’est de cette manière que les gens peuvent s’impliquer.

Si vous voulez en faire partie, écrivez à La République de Kanata. (republicofkanata@gmail.com).

A :  C’est tellement extraordinaire. Maintenant, pour vous tous qui écoutent ceci, ceux qui m’ont écrit, ceux qui se grattent la tête se demandant comment puis-je faire une différence? Comment puis-je vraiment entrer dans ma spiritualité et vraiment vraiment vivre la vie que je veux vivre?

Regardez ce qui vous est présenté, en avant de vous.

C’est tellement enthousiasmant, Kevin, je pense que c’est vraiment un rêve que tous nous avons et qui commence à se réaliser

Beaucoup de travail .à venir mais le fait est qu’une fissure est ouverte.

Pour tous ceux qui veulent s’avancer, dans tout ce qui les passionnent et qui veulent se rendre actifs, et je dirais pro-actifs, dans des changements positifs.

Nous commençons tous à apprendre à travailler ensemble. C’est très intéressant parce que c’est nouveau pour nous, n’est-ce-pas? Nous ne sommes pas très accoutumés de travailler ensemble de cette façon.

K : Exactement, et ce sera un long processus pour vous donner un exemple de comment nous avons commencé, et c’est un travail majeur qui est en cours. En fait, le véritable travail difficile commence maintenant. Et il y aura des déceptions. Il y a déjà des faux groupes sur Facebook. D’autres groupes se font appeler Republic of Kanata./République de Kanata

Toutes les distractions vont se dissiper. Le plus important, ainsi que vous le dites, est que nous  envoyons des exemples positifs à savoir comment on va reprendre notre monde

Le plus important, c’est de partir quelque chose et de continuer. C’est dur pour nous d’apprendre à travailler ensemble, parce que nous n’avons eu personne pour nous l’enseigner. Nous avons été formés à nous battre les uns contre les autres, Ça, c’est gros à surmonter.

Ça va venir avec la pratique, vous savez.

A : Très bon point. Et maintenant, avez-vous quelque chose à dire au sujet de la radio que vous lancez, Radio libre de Kanata (Radio Free Kanata).

K : Oui, la voix officielle de la République va être lancée dimanche le 1 février. Ce sera tous les dimanches, à 3 :00 PM. Nous opérons à travers «BPS radio»??, et ils nous ont donné un créneau à 3 :00 PM le dimanche.

Alors, tous les dimanches, commençant le 2 février, il y aura une émission d’une heure, avec moi-même et Katy Stoquoa??? Qui est une algonquine et travaille sur le Conseil Provisoire, et elle sera co-animatrice avec moi.

Nous aurons des rapports des activités clandestines locales qui nous donneront les nouvelles de ce qui se passe sur le terrain, ... et aussi sur d’autres sujets, etc

Il y aura d’autres informations que vous pouvez suivre sur «bps.org»???.

Traduction non officielle par Estelle Paradis

Version anglaise mp4

https://kauilapele.wordpress.com/2015/01/18/alexandra-interviews-kevin-annett-1-15-15-positive-changes-to-take-back-our-world-republic-of-kanata/

Merci infiniment à Estelle de cet immense travail de traduction que je tenais à vous partager.

Françoise CdP.

Posté par galaxie109